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 Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva]

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Eva Esperanza



Disponibilité pour RP : Oui
Messages : 18
Dollars : 40
Featuring : Emilie Autumn
DC : Kyle Porter
Héra Delacroix
Date d'inscription : 19/02/2015

ID Card
Études/Boulot: Chanteuse de bar
Statut Social: Pauvre
Quartier/Adresse: Little Haiti


Eva Esperanza
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MessageSujet: Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva]   Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva] EmptyJeu 19 Fév - 22:29



Eva Esperanza


Age: 26
Date de naissance: 2 Novembre
Lieu de naissance: Madrid
Groupe: Poor
Statut social: Chanteuse dans un bar de Little Haiti
Avatar: Emilie Autumn
Scénario, PV ou P.I: PI

Mon physique à moi


On la reconnait de loin, Eva. Parce qu'elle  s'est toujours dit qu'un personnage bien façonné ne pouvait qu'avoir une tenue de clown. Sans pour autant en être véritablement un, on peut considérer la jeune femme comme quelqu'un de beaucoup trop étrange pour se mêler au commun des mortels. Eva, c'est une marginale, jusqu'au bout des ongles. Quand elle marche dans les rues de Little Haiti, il n'y a que peu de personnes capables de véritablement l'effrayer. Son corps est un balancier subtil, fin et longiligne, sans véritablement de formes bien dessinées. On ne dira pas forcément qu'elle est belle, on pourra seulement la considérer comme mince, à peu près bien fichue, avec sa poitrine minuscule et ses hanches étroites. Sa peau pâle ne bronzera jamais, malgré les mauvais traitements du soleil américain. En Espagne, c'était pareil. Eva n'a pas grand chose de l'espagnole de base. Ancienne brune aux yeux verts, ses cheveux flamboient maintenant même dans la nuit, d'un rouge sanguin allant jusqu'à l'excès, qu'elle porte longs jusqu'au milieu du dos. Elle a le regard sévère de celle qui ne souffrira jamais aucune contestation, elle a les yeux sauvages et un peu fous peut être, de cette jeune fille qui s'est perdue et qui ignore comment remonter la pente à présent. La vérité c'est qu'elle n'a pas vraiment de solution. Les passants la regardent, à la dérobée, elle et ses collants troués, ses guenilles cousues pêle-mêle, ses corsets trop serrés, ses rangets montant jusqu'à ses genoux, bref, tout son personnage soigné, peaufiné pour faire peur. Et ça marche, parfaitement ça marche, parce qu'Eva aurait pu être entourée. Mais elle n'a jamais été aussi seule qu'à cet instant, en marchant dans les rues de Miami en tenant la main de sa fille.

Ce qu'il se passe dans ma tête


Eva c'est le petit cygne perdu au milieu des canetons, qui n'a jamais vraiment su où était sa place. Eva, c'est la Colère avec un grand C, parce que toutes ses actions sont régies par cette émotion. ça parait cruel, peut-être, de voir que jamais Eva ne sera capable de s'assoir et de réfléchir, mais elle n'y peut rien. Il est difficile de décrire le caractère de l'hispanique, parce qu'il change au moindre tressaillement de feuille morte, versatile et terrifiant pour ceux qui n'en ont pas l'habitude.

Eva, elle est malheureuse, oui, ça c'est un fait, parce que la vie qu'elle a eu n'a rien d'un paradis. Elle est malheureuse parce qu'elle a baissé les bras, et maintenant elle n'a plus rien. Eva, elle est malheureuse parce qu'elle a le sentiment que personne ne sera jamais capable de l'apprivoiser. Elle est malheureuse parce qu'elle est trop sauvage, elle et ses yeux qui brûlent, elle et sa façon atrocement véridique de détruire tout ce qu'elle touche. Elle est malheureuse parce qu'elle a peur de l'avenir, en se disant qu'à vingt six ans elle n'a déjà plus rien, absolument plus rien. Et qu'elle ignore comment changer les choses, parce qu'elle ne cherche pas, elle n'a pas envie de chercher.

Eva, elle a deux enfants, et elle les aime plus que de raison. Sonata c'est son aînée, et aujourd'hui elle a neuf ans. C'est une petite fille pleine de vie qui est tiraillée entre le malheur de sa mère et son bonheur à elle. Sonata elle est un peu ballotée mais elle s'en sort un peu comme elle peut, elle aussi, parce que c'est la petite femme de la famille, celle qui a véritablement les pieds sur terre. Mateo, son petit frère, il a cinq ans et les quenottes à l'air toute la journée, gorgé de vie et de sourire, un petit bout d'homme aux cheveux bouclés, une petite page d'amour qu'elle a choisi d'arracher. Pour ses enfants, elle serait prête à tuer. Prête à ne pas manger pour qu'eux aient un endroit chaud ou dormir, prête à tout. Et c'est ce qu'elle fait. Elle ne vit pas, elle survit.

Eva, elle aime le soleil espagnol, l'Andalousie. Elle aime Grenade, elle aime la chaleur et la mer. Eva, elle n'a jamais aimé sa vie mais elle a toujours apprécier les plaisirs, même les plus petits. Celui de peler une orange dans la chaleur de midi, dehors au bord de la mer, celui de caresser la grosse tête de Requiem, son chien, celui de sourire aux autres aussi, même si c'est quelque chose qu'elle ne fait pas beaucoup. Elle aime chanter et jouer du violon, même si elle n'a plus touché à son instrument depuis trop longtemps.

Eva c'est une âme égarée. Quelqu'un qui a perdu espoir, qui n'a plus sa place. Et qui a abandonné l'idée de la trouver un jour.

L'histoire que j'ai à vous raconter


Je n'ai jamais vraiment eu le sens de l'humour, finalement. On m'a toujours dit, dans ma famille, que rire c'était pas vraiment ce qu'il y avait de plus important. Et pour cause. Je suis issue de la jeunesse dorée de Madrid, moi, mesdames et messieurs. On pourra penser ce qu'on veut de moi, en attendant, le faste et le luxe, je l'ai connu. Ma mère, avocate, passait sa vie sur les routes pour défendre les clients les plus tordus. Mon père a été ministre de la santé pendant des années. Alors autant dire que leur emploi du temps n'était pas au plus beau fixe lorsque je suis arrivée, au milieu de ces deux businessmens, comme un cheveu tomberait dans la soupe, emmerdante et difficile à enlever. Je suis née à Madrid, un jour où ma mère a suivi mon père pour un meeting politique. Elle était dans la salle de réunion, et paf, je suis née deux heures plus tard après qu'on ait appelé les urgences. Un coup médiatique formidable pour mon père. Ma naissance a fait le bonheur de tous les espagnols, pas de doute. A part de moi, peut être, oui.

Parce que j'ai passé mon enfance enchaînée dans une grande maison, sans possibilité d'en sortir ou presque. Vous savez ce que c'est, de naître avec une cuillère en argent dans la bouche mais sans savoir comment s'en servir ? Oh oui bien sûr que je n'aurais pas dû en être malheureuse. J'avais une armée de bonnes à mon service. J'ai eu une petite soeur quand j'avais six ans. On aurait pu se serrer les coudes avec Alessandra, mais c'est l'inverse qui s'est produit. Ma soeur, je l'ai haïe. Parce que j'estimais qu'elle n'avait rien à faire dans ma vie. J'ai compris bien plus tard qu'à six ans, j'estimais déjà que mes parents auraient dû s'occuper de leur première fille, avant d'en faire une deuxième.

J'ai fait mes études dans de prestigieuses écoles, dans lesquelles je ne m'épanouissais pas. Les enfants de riches étaient arrogants, stupides, ils m'insupportaient à tous les niveaux. Je n'avais pas d'amis, seulement des ennemis et peut être des esclaves, parce que oui, les gosses, je les rackettais, les plus petits que moi. J'en avais un qui portait mon cartable, un qui m'apportait un goûter supplémentaire, deux ou trois qui faisaient mes devoirs. C'est ironique, tout de même, de me dire qu'enfant j'avais mis en place tout un réseau pour obéir à mes moindres désirs et qu'aujourd'hui, je me retrouve démunie et sans soutien. J'étais une gosse malheureuse, qui terrorisait les autres pour me sentir vivre. Je faisais le mur pour ne pas rentrer à la maison, et finalement, le salut arriva de là où je ne l'attendais pas. Mes parents sont morts.

Ils sont partis en vacances a Santiago, sans moi. Parce que mes parents étaient croyants, et moi je m'en foutais, tout simplement. J'avais choisi de rester toute seule à la maison, avec ma soeur. Mon mépris à l'égard d'Alessandra ne me quitta jamais, et je ne choisis pas non plus de me tourner vers elle lorsque le téléphone sonna à la maison, pour apprendre à Maria la gouvernante que mes parents avaient perdu la vie en heurtant un camion de plein fouet sur l'autoroute. Le chauffeur s'était endormi. Dur dur, hein ? Mais moi, je vis cela comme une véritable libération. J'ai pensé qu'on nous enverrait dans une famille d'accueil, ou chez des amis, mais cela ne se passa pas exactement de cette façon. Mes parents avaient beau nous négliger, ils nous laissèrent une fortune colossale en héritage, ainsi qu'un institut privé en guise de tuteur. A chacune. Je fus séparée de ma soeur à quatorze ans. Pour elle, qui n'a jamais cessé de m'aimer, ce fut une déchirure. Pour moi, qui n'ai jamais pu éprouver pour elle autre chose que de la haine, ce fut une véritable délivrance.

L'institut dans lequel on m'envoya se situait à Grenade, non loin de l'ancienne grande maison familiale. J'ai bien essayé, oui essayé d'être sérieuse et studieuse mais la seule chose qui sauvait ma moyenne était la musique, le violon, le chant. La seule chose qui me sortait un peu de ce monde de riches que je méprisais. Et la philosophie, aussi. Attention, quand je dis la philosophie, je ne parle pas de la matière. Je parle du prof qui l'enseignait.
Il s'appelait Liam Natal. Il venait de Valencia, et il avait tout pour me plaire, des cheveux mi longs ondulés, des yeux caramel, un sourire sublime et une voix grave et chaude. Il avait vingt cinq ans, Liam quand il m'a eu dans sa classe. Moi, j'en avais quinze. Et je suis tombée irrémédiablement, indubitablement amoureuse de lui. Oh bien sûr que j'ai pensé que c'était réciproque. Bien sûr que j'ai cru à ses belles paroles, bien sûr que je me suis dite que je pouvais changer le monde avec lui, je me disais qu'à ma majorité, on se marierait, et on aurait une pelletée de gosses. Et peut être que j'y aurais cru encore longtemps, si je ne l'avais pas vu embrasser sa femme, Stefania, sur le parking du lycée un vendredi soir. J'ai bien compris qu'il se moquait de moi. Je n'ai pas vraiment eu à chercher plus loin.

Vous savez que les espagnols ont le sang chaud ? Chez certains, c'est plus vrai que vrai encore. Dans mon cas, c'était poussé à son paroxysme. En fait, je n'ai pas vraiment réfléchi, quand j'ai foncé sur internet pour chercher l'adresse de cet odieux connard qui m'avait menti en me promettant monts et merveilles, je n'ai pas non plus réfléchi quand je suis sortie de l'internat en pleine nuit, que j'ai fait tout le trajet jusqu'à sa maison en courant, sa putain de maison dans laquelle il y avait sa femme, sa salope de femme qui me volait mes espoirs, les premiers depuis des années. Je n'ai pas réfléchi non plus quand je suis entrée dans la maison. Que je les ai débusqués, tous les trois, dans leur cuisine, comme une gentille petite famille. Liam, Stefania et leur fils, Mateo. Pas réfléchi non plus quand j'ai tiré une lame dans le porte couteau du comptoir. Et que je les ais tués, tous les trois. Oui, tués. J'ai planté la lame dans la gorge de Stefania. J'ai déchiré le ventre de Liam en deux. Et même le bébé. Un petit garçon de deux ans et demie qui pleurait sur sa chaise, lui et ses beaux yeux bleus, ces larmes brûlantes. Il représentait un bonheur qu'on me volait. Alors j'ai enfoncé la lame dans son petit corps. Dix fois. Avant de sortir, avec l'arme, les mains pleines de sang, l'esprit plein du crime que je venais de commettre, sans me rendre compte de la gravité de mon geste. Et je n'ai plus jamais remis un pied à l'internat.

J'ai erré pendant quelques temps dans Grenade, en me dissimulant dans les ruelles basses, en vivant comme une clocharde, le temps de trouver une solution. Et je l'ai trouvé après une semaine à fouiller les poubelles pour me nourrir. Mon salut, je l'ai eu grâce aux contacts de mon père que j'avais choisi de garder précieusement en cas de pépin. Et on m'a sortie de là. On m'a fait déménager à Madrid, on a maquillé le meurtre pour qu'on croie à un cambriolage qui avait mal tourné, et moi, d'Eva Esperanza, je suis devenue Eris Melody, une jeune fille de seize ans qui a vécu dans un orphelinat pendant deux ans sans suivre vraiment d'études ou à peine, avec un petit trésor caché dans le ventre que je choisis par la suite d'abandonner. Parce que ma fille, au départ, je n'ai pas eu le coeur à la garder à mes côtés.

J'ai atteint ma majorité et l'héritage, donc l'argent, est tombé en pluie. Les amis de mon père m'ont contacté pour me le donner, et me conseiller de quitter le pays, parce que j'étais toujours recherchée par la police depuis deux ans, en tant que fugueuse et non comme meurtrière. J'ai pris un billet d'avion en aller simple en essayant d'oublier que deux ans plus tôt j'avais choisi d'abandonner une petite fille devant une porte. Et donc une partie de ma vie. Je me suis inscrite dans une nouvelle école à Miami, en me disant qu'à défaut de l'Espagne, j'aurais le soleil. Et à partir de là... Oh, à partir de là je crois que le reste de ma vie est partie en miettes.

Ils s'appelaient Apollo Tässäon, Lancelot Perez, Kity Wilson, Trevor Seyton, Marissa Chamberlain. Ils avaient tous un nom, tout un visage et tous ont contribué à ma descente aux enfers. Apollo, parce que je suis devenue une sorte de maîtresse pour lui au moment où sa copine tombait enceinte. J'ai bien cru devenir folle, d'être une nouvelle fois la fiancée du placard. Et sans Lancelot, je le serais peut être devenue.
Lancelot Perez venait de Paris, un compositeur de musique avec qui je m'entedis immédiatement. C'était un sale type, un con en puissance, un égoïste orgueilleux et prétentieux, et c'est sans doute ce qui a fait de lui d'abord mon meilleur ami, puis mon amant et enfin un type dont je ne parvins plus à me passer. J'ai passé un an à Wynwood, et j'ai réussi mes examens, avec une mention spéciale pour la musique. Au violon je suis un génie, en solfège aussi. Alors on m'a offert un poste de professeur un an après ma sortie. Entretemps ? Entretemps j'ai fait n'importe quoi. Entretemps, j'ai récupéré ma fille, Sonata, de quatre ans. Entretemps, je suis tombée enceinte de mon fils Mateo. Entretemps Lancelot m'a abandonnée.

Entretemps, j'ai tué Kity Wilson, par accident lors d'un braquage. Kity, cette fille dont Lancelot était amoureux en m'oubliant, moi, une nouvelle trahison et une nouvelle douleur que je n'ai pas pu supporter. Oh bien sûr, la mort de Kity aurait pu me faire m'éloigner d'une arme à feu pour le reste de ma vie. Mais vous savez ce qu'on dit non ? Faites goûter au sang à un chien, et il ne pourra plus jamais s'en passer. C'est ce qu'il m'est arrivé, quand j'ai pris contact avec la pègre de Miami en proposant mes services. J'ai commencé par tenir de petits interrogatoires dans les ruelles. Puis je suis montée en quelques mois, jusqu'à devenir une tueuse. Oui une tueuse froide, qui prenait des gens comme des objets meubles, une balle de silencieux entre les deux yeux, une rose sur le cadavre comme signature de mon méfait, et la fuite, pour recommencer le lendemain. Si Lancelot n'avait pas découvert les fleurs dans mon placard, j'aurais sans doute continué longtemps. S'il n'avait jamais su que j'étais responsable de la mort de Kity, peut être que ça aurait duré encore longtemps oui, peut être que ma vie aurait pris un tournant. Mais il l'a su. Et de là, ma vie a basculé. Parce qu'il m'a abandonnée.

J'ai mis fin à mes activités, je suis devenue enseignante à Wynwood. Mais j'ai perdu, quelque part, toute volonté. J'étais devenu cette personne plus agressive que jamais, cette jeune femme qui vivait entre parenthèses, et ne donnait son amour qu'à ses enfants, en cherchant à les protéger du malheur. Je suis devenue un fantôme, ramassé par un homme que je n'aurais jamais cru aimer un jour. Ou du moins apprécier assez pour vouloir faire un bout de chemin avec lui. Sauf que Kyle aussi, il m'a abandonnée. Et je crois que ça a été la désillusion de trop. Le chagrin de trop. Parce que j'ai cessé de vivre. J'ai perdu tout mon argent en jouant jusqu'à tard dans la nuit, ma maison. Mon travail que j'ai quitté. Je suis devenue cette femme en détresse que personne ne venait chercher. Et maintenant ? Maintenant, j'ai vingt six ans. Maintenant je vis ma vie un peu comme je le peux, je dors dans un appartement désaffecté avec mes enfants. L'argent que je gagne en chantant dans les bars, je m'en sers pour les nourrir, leur donner des habits neufs, leur payer l'école, pour échapper à la pauvreté manifeste dont ils sont témoins chaque jour. Moi je me contente seulement de vivoter. C'est pas grave si je saute un repas, c'est pas grave si je n'ai rien pour me protéger du froid le soir. Je m'en fiche, du moment qu'eux ils mangent, et qu'ils ont une converture.

Le reste n'a aucune importance. Je chante pour des gens que ça n'intéresse pas, je ne gagne pas de quoi vivre, pas de quoi retrouver une maison et avoir une vie rangée. Mais c'est pas grave, ce que je vis, du moment que mes enfants peuvent vivre un peu plus confortablement que moi.

Je m'appelle Eva Esperanza. Et je crois qu'il s'agit du dernier chapitre de ma vie, ce qu'il m'attend maintenant.

TOI, ET SEULEMENT TOI


Souhaites-tu un parrain/marraine? Non
Age: 21
Pseudo: Eva
Où as-tu connu le forum? O)_(O je vois ton superbe visage
As-tu une remarque, ou suggestion à faire?  N'aie pas peur :)
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As-tu envoyé ton secret? OUAIS

Code:
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(c) Sashette
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Mike R. Harper



Messages : 28
Dollars : 32
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Who I am : The Devil
The people around me : <3
What I've done : Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva] 955786SosoMik
Age : 30
Date d'inscription : 17/02/2015
Localisation : dans ton cul


Mike R. Harper
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MessageSujet: Re: Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva]   Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva] EmptyVen 20 Fév - 13:56


Félicitations !

TU ES VALIDE(e)
EVAAAAAAAAA <3
Cette fiche est vraiment superbe, et l'histoire vraiment trop triste .__. elle me fait trop de la peine Eva. En tout cas, j'ai adoré lire cette fiche ce personnage est juste super, j'aimerais beaucoup avoir un lien avec elle, si tu veux bien de moi :3
Je te valide donc, et bon jeu avec elle !


survole-moi

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Ma main sur ta gueule, mon genou dans tes couilles, la gentillesse dans ta FACE. [Eva]

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