Sujet: Nan mokjeogeul ilheobeorin jakga i soseorui. Kkeuteun eotteohge mamuri jieoya hae — Shin Mar 17 Fév - 22:41
Shin Young Hae
Age: 19 y.o Date de naissance: 30 novembre 1995 Lieu de naissance: Venise, Italie Groupe: Rich Statut social: Etudiant Avatar: Yong Jun Hyung Scénario, PV ou P.I: P.I Catégorie: 3
Mon physique à moi
A la question « à quoi ressemble-t-il ? » vous aurez des avis on ne peut plus partagés, parce que c’est au travers de cette question que réside tout le mystère de cet individu, ce fantôme de la rue. Tout le monde en a entendu parler, tout le monde l’a vu, mais personne ne sait exactement à quoi il ressemble. On vous dira pour sur qu’il est grand, dans la moyenne, 1m78 pour être plus précis, et que par déduction, son poids doit environner les 64 kilos, parce qu’il ne fait pas boule de muscles à leurs yeux. Non, il semble normal, en bonne condition. Les gens vous diront qu’il a l’air séduisant, sans pour autant avoir vu son visage. Sa démarche est assurée, son pas est fin et sa danse, gracieuse et pêchue à la fois. Des mains fines, et de longues jambes musclées. Un style vestimentaire particulier, celui de ces danseurs de hip hop, le street style. Il passe ainsi inaperçu dans la foule, et relève toujours sa capuche noire, ainsi qu’un masque qu’il revêtit. Ce choix, il le fait par dépit, pour ne pas être reconnu, et ainsi ne plus avoir à jouer un rôle. Ce jeune homme, d’après les dires, ne doit pas avoir plus de la vingtaine et a une voix sensuelle et grave, qui ne fait pas pour autant de lui un homme mur.
Sa posture est droite, presque comme un i, il ne se tient jamais vouté, et dégage une assurance certaine. Tout ce qu’on peut distinguer à travers ce masque qui cache son visage à la forme ronde, ce sont ses deux yeux couleur chocolat, presqu’aussi noirs que ses pupilles. Mais il faut pour cela l’approcher de très près pour en avoir le cœur net. Ceux qui ont eu l’occasion d’avoir affaire à lui vous diront que son regard vous transperce, et dégage de la passion quand il s’exerce au beau milieu de tous ces gens. En tout cas, il fait la une de tous les journaux, et des réseaux sociaux, et fait fureur auprès de la gente féminine. C’est comme ça que ce mystérieux individu est perçu par le monde qui l’entoure. Ils s’accorderont à dire la même chose, et tout ce qu’ils souhaitent c’est pouvoir découvrir qui il est.
Mais quand au détour d’une rue, après avoir grimpé au bord d’un grand van aux vitres teintées, il retire son masque, on peut découvrir Shin. Shin, le fils unique du grand promoteur immobilier coréen.
Il ne laisse transparaitre presqu’aucune émotion, si ce n’est le plus souvent un petit sourire moqueur, ou tout simplement rester de marbre, même s’il respire la joie de vivre. Il paraît toujours plus jeune que son âge, et dégage un certain charme. Ses cheveux sont de nature, comme tout asiatique par défaut, d’un brun ébène, voire presque noir de jais, mais comme beaucoup de jeunes de son âge, il a fini par les teindre, en brun cuivré. Ceux-ci sont lisses, comme il peut les rendre légèrement crépus. Mais rien ne l’empêchera d’un jour les couper court, les teindre encore, les laisser pousser, faire juste une crête, se laisser aller. Mais pour l’image qu’il devait renvoyer, une coupe sobre était ce à quoi il devait se tenir, tout comme un code vestimentaire simple. Rien de farfelu, et noir de préférence, mais ça ce n’était pas le vrai Shin, c’était celui que son père voulait qu’on voit, celui qu’il aurait toujours du être. Et ce Shin là, était bien moins apprécié, que le jeune homme mystérieux, qui exerçait sa passion dans les rues de Seoul.
Ce qu'il se passe dans ma tête
« C’est un homme charmant, galant, mais à la fois rebelle et insolent. » « Il semble sage, poli et bien élevé, mais extrêmement imprudent. » « Il est romantique, charmeur et attentionnée envers les filles. »
C’était à peu près tout ce que pouvait lire Shin en boucle sur les centaines de fanfiction qui lui étaient dédicacées. Perçu comme un personnage de roman à l’eau de rose, il était souvent mis en avant comme un parfait gentleman.
« Elle avait rêvé toute sa vie de ce jour, il était là, face à elle, la main levée vers le ciel. C’était un soir de pleine lune, il était romantique, c’était indéniable, et malgré le visage censuré par ce morceau de plastique noir comme le charbon, elle pouvait percevoir un Prince Charmant au visage angélique. Sa posture se voulait rigide, digne d’un fils de roi, et des manières qui indiquaient une bonne éducation. Il voulait la séduire, mais comme au temps des châteaux. Il s’approcha de la jeune fille, prêt à retirer son masque et lui dévoiler son identité, avant de l’embrasser… »
Blablabla. Les mêmes scénarios cuculs à chaque fois. Pourvu d’une certaine curiosité, il avait voulu ce soir là découvrir les critiques qu’on faisait à son sujet, et n’avait de cesse que de tomber sur ces torchons où il était perçu comme un prince charmant à la fois angélique et diabolique. Au moins, une chose était sure, s’il enlevait ce masque et redevenait lui-même, on ne le reconnaitrait probablement jamais dans ces souillons qu’écrivaient ses « fans ». Comme pris d’une impulsion, il ouvrit une page sur le site régit par les écrivains de fanfictions, et commença à son tour à rédiger sa propre vision de sa personne, histoire de voir quelles seraient les réactions.
« L’inconnu, derrière ce masque cache une personnalité complexe, et pourtant facile à découvrir. Tout d’abord doté d’un sens de l’humour sans égal, il est un ami agréable à avoir à ses côtés pour les blagues en tout genre, et passer de bonnes soirées. Un peu fêtard, mais pas trop, et surtout espiègle. Un regard malicieux, des idées derrière la tête, il est derrière son sourire d’enfant, malin, et surtout prévoyant, logique et rationnel. Cependant, il n’est pas bien difficile à vivre, ronchon le matin, mais une vraie pile d’énergie, toujours à vouloir bouger, danser et motiver les gens. Bien sur, il n’en a pas l’occasion comme il le voudrait, et doit se renfermer derrière une image d’un type froid et complètement distant, inaccessible et méprisable.
Bien qu’un peu arrogant, et fier, il n’est jamais très méchant, et loin d’être égoïste. Il est sociable, un peu trop moulin à paroles quand il voulait, et surtout apprécié de tous, pour sa malice légendaire et son honnêteté sans égal. Il a horreur du mensonge, et n’hésite pas à être franc, sans prendre de détour quand quelque chose ne va pas. Loyal, et surtout un complice, il est un peu l’ami en toutes circonstances, que ce soit pour faire des conneries, ou aller s’amuser. Karaoké, fête, concert, cours, voyage, sport… Il est quelqu’un de très ouvert, et reste simple, il reste lui-même. Si quelqu’un ne l’aime pas, il ne l’aimera pas. Il ne cherche pas à courir derrière les gens, il fait comme il veut, il va et vient, et vit la vie au jour le jour, sans se soucier du lendemain. Impulsif, et instinctif, il peut paraître lourd, mais il est surtout adorable, bien que parfois il joue la carte de la non-modestie, un peu trop sur de lui, trop en confiance, sans prendre conscience que certains de ses propos soient blessants. Vous l’aurez compris donc, maladroit, mais en résumé quelqu’un de tout à fait normal, à la personnalité impressionnante. Quelques défauts cependant, têtu, et lunatique, il peut très bien péter le feu ou tirer la gueule, il est rancunier, et susceptible, mais il faut bien de tout pour faire un monde. Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que contrairement à son aura qu’il dégage, il n’est pas ce genre de mec à chercher désespérément une nana, il ne tombe pas amoureux facilement, et est très exigeant à ce sujet, et déteste par dessus tout les filles nian-nian, fleurs bleues. Il aime les films gores, la musique de rue, et a horreur des épinards. »
Il hésita, puis appuya sur envoyer. Les commentaires ne tardaient pas à pleuvoir, et comme il avait pu imaginer, elles furent négatives.
« Il peut pas être comme ça, il est parfait, c’est un ange. »
Il soupira, définitivement, il était perçu, malgré tous les efforts qu’il se donnait, comme un mec hors d’atteinte, qui ne servait qu’à faire rêver, et que aucun faux pas ne lui était accordé. Comme quoi même en exposant son propre personnage, il était considéré comme faux. Alors qu’au fond, tout ce qu’il voulait, c’est qu’on sache qui il est.
L'histoire que j'ai à vous raconter
Shin Young Hae, plus connu comme le fils de la grande entreprise commerciale de Seoul, est né le 30 novembre 1996, à Venise en Italie. C’est une nouvelle qui bouleversa les médias dans la Corée du Sud, qui à l’annonce du sexe de l’enfant, publièrent des tonnes d’articles dans tout le pays. Un fils, qui sera à coup sur aux rennes de l’entreprise dès qu’il en aura les capacités et surtout l’âge requis. C’était un destin déjà tout tracé pour le jeune bambin qui venait alors tout juste de naitre, dans le pays natal de sa mère. Alors en voyage tout à fait personnel, et non à but professionnel, elle avait fini par accoucher en avance, de façon un peu inattendue, dans la capitale de l’amour en Italie ; Venise. Cette naissance, bien que prévue plus tard était censée se dérouler dans l’hôpital de Seoul sous le regard contemplatif des journalistes qui seraient les premiers à pouvoir publier une photo du gamin. Mais ça ne s’était pas déroulé comme prévu, parce que depuis la seconde où il avait décidé de naitre plus tôt, ses parents savaient qu’il serait le genre d’enfant à ne vouloir en faire qu’à sa tête. Et bien que ce fût un présage hâtif et injustifié, avec les années, ça s’était confirmé.
Shin était donc prédestiné à devenir un futur PDG à l’image de son père. Ce qui était très important dans l’éthique coréenne. Ils faisaient parti de ce qu’on appelle là-haut des Cheabols, ou personnes les plus éminentes et plus riches du pays, et dans ces familles, rien n’est pris à la légère, pas même un simple repas de famille, ce pourquoi même la naissance avait voulu être programmée, bien que ce soit quelque chose d’entièrement imprévisible. Le père de Shin avait rencontré sa femme lors d’un voyage d’affaire en plein cœur de Rome, où elle était une des interprètes présentes lors de la réunion. Fille d’un célèbre styliste italien, leur mariage fut très vite arrangé, pour sceller l’union de deux entreprises influentes dans le domaine du commerce mondial. Malgré tout ce que les gens pensent au sujet de cette union forcée, les deux amants avaient fini par éprouver des sentiments, et à vouloir fonder une famille, bien que tout le monde sache le réel objectif qui se cachait derrière la conception d’un enfant, surtout de sexe masculin. Malgré le fait que le monde a évolué, certaines pratiques restent les mêmes et particulièrement courantes, ainsi que l’importance de l’homme en tête d’une société.
Les parents de Shin raccourcirent alors leur petit voyage en tête à tête, pour rentrer en toute hâte et présenter à la Corée le nouveau né, c’était un peu un rituel, parce que maintenant il serait connu de tout le gratin coréen, et son nom était déjà inscrit dans le registre familial et comme futur représentant de la société coréenne. Pas très intéressant comme avenir, puisque très jeune il déclara ne jamais vouloir être comme son père, car celui-ci ne rentrait jamais à la maison, et c’était sa mère qui dut l’élever seule, alors devenue femme au foyer pour pouvoir élever son gamin à sa convenance. Mais alors qu’elle devait tout faire pour qu’il s’intéresse aux finances, et au management, elle ne pouvait s’empêcher de vouloir voir son fils heureux, et le laissait participer à des activités extra-scolaires qui l’intéressaient. Après tout, c’était un enfant, il pouvait bien changer d’avis, ils ne risquaient rien. Et c’est comme ça qu’il appris le piano, et le chant, dès son plus jeune âge. Mais ce à quoi sa mère ne s’attendait pas, c’est qu’il prenne pied, et que ça devienne sa véritable passion, ce pourquoi il voulait vivre. Et même si au début ça passait pour un coup de tête, il ne cessait d’évoquer une carrière de chanteur, sous les yeux effarés de son père. La musique n’était pas un métier à ses yeux, et certainement pas pour un gamin de son envergure, ce pourquoi il mit fin au rêve de Shin, lui interdisant toute pratique musicale. La fin de l’amour que portait Shin à son père était arrivée ce jour-là, alors qu’il venait de fêter ses dix ans la veille. Un coup dur, mais déjà ambitieux et sans relâche, avec l’aide de sa mère qui le chérissait plus que tout, et qui n’était pas toujours d’accord avec les propos de son mari, il réussit à bénéficier de cours à domicile, pour perfectionner sa technique à la fois en chant et en piano.
Shin appris au fil des années à concilier cours et coups de pressions médiatiques. Il devait se comporter comme un élève modèle, et comme un fils exemplaire. Jouer deux personnages à la fois, le fils que voulait que soit son père, et celui qu’il était vraiment, c’est-à-dire pétillant, et plein de vie. Mais ça, il devait le garder quand il franchissait le pas de sa porte, et était donc hors d’haleine des journalistes. C’était épuisant pour lui, et pas évident pour un gamin de son âge d’évoluer tout en sachant que sa vie privée était étalée partout sur la toile. A la fois sur les réseaux sociaux, et à la télévision, parce qu’évidemment ce genre de choses, ça ne passait pas inaperçu, même aux yeux de ceux qui n’en avaient que faire de la vie du fils du PDG le plus imposant de tout le pays. D’ailleurs, certains ne s’intéressaient qu’à lui pour son statut, son argent, et les filles pour son physique, car il fallait l’avouer, il avait tout pour lui. Il attirait les gens à son école, comme les ours étaient attirés par le miel, et toute cette attention l’étouffait, il n’aimait pas être ce mec populaire, parce qu’on ne voyait en lui que Fils de PDG, et non garçon normal. Ce pourquoi, il restait assez solitaire, et n’avait pas de réels amis, du moins aucun sans qu’il y ait un intérêt caché derrière.
Et un beau jour, il finit par avoir vent des critiques qui étaient colportées à son sujet, comme quoi de toute façon, il n’avait aucun talent et qu’il obtiendrait tout de la main de son père, ce qu’il refusa de laisser passer, trouvant injuste qu’on le juge pour un statut social qu’il refusait d’assumer, et qu’il reniait la plupart du temps. Et ne pouvant certainement pas se servir du chant sans que ça arrive aux oreilles de son père, bon ami du directeur, il se lança dans la compétition sportive, qui était déjà plus honorifique et qui plaisait déjà plus à son crétin de père. Et c’est donc ainsi qu’il finit par s’intéresser et à prendre goût à l’athlétisme, se perfectionnant davantage dans le saut en hauteur et à la perche, participant à quelques humbles compétitions qu’il ne remportait pas toujours, fermant définitivement le clapet de ceux qui le considéraient comme sans talent. Bien qu’évidemment, malgré son dévouement au sport, il ne cessait de penser au chant, mais se devait d’oublier, jusqu’au jour où il eut la brillante idée de se créer un nom, et se cacher derrière un masque comme les très célèbres Anonymous, et quelques jours après avoir fêté ses quinze ans, il se lança dans le street art, faisant profiter de son talent en chant, sans qu’on puisse savoir qui il était, et exercer sa passion dans le mystère absolu. Au fur et à mesure que les années passaient, le public se faisait toujours plus nombreux, et il perfectionnait sa technique, ses mises en scène, et apprit quelques pas de danse en autodidacte attirant toujours plus de fans et d’adeptes qui espéraient qu’un jour il dévoile son visage. C’était une légende de rue, et on ne parlait plus que de lui dans les journaux, sans que personne ne sache qu’il était le très célèbre Shin. Cette flamme en lui, le tenait en vie, et il était à chaque fois toujours très heureux de se placer là, sur cette même place et chanter, et danser sous le regard admiratif de son public, ceux qui venaient le voir lui, pour son talent et non son nom.
Il était appelé le fantôme de la rue, et suscitait l’attention chez les jeunes filles qui commencèrent à écrire même des fanfictions à son sujet, alors qu’aucune d’entre elles ne connaissaient sa véritable identité.
Mais un beau jour, ce beau rêve prit fin, et les choses sérieuses devaient commencer, mais clairement opposé à l’avenir que lui réservait son père, il refusa catégoriquement la place de PDG qui lui était convenue, et fut clairement déshérité. Dans les familles de Chaebols, c’était un cas courant, on enlevait comme on rajoutait les membres de la famille sur les registres à leur guise, et les liens affectifs n’étaient pas privilégiés dans des cas de ce genre, et Shin en profita pour se tirer de la Corée du Sud et espérer accomplir son rêve en Amérique, le pays de la gloire et la célébrité. Et bien qu’il fut entêté à se rendre à New York, il finit par suivre les conseils de sa mère, seule personne à véritablement le soutenir, et atterrit à Wynwood, en plein cœur de Miami. Pour elle, le rêve de son fils comptait, mais qu’il fasse des études tout autant, et ayant eu vent de cette académie, elle fit les démarches pour qu’il puisse s’installer dès son arrivée, et commencer une nouvelle vie, loin des médias, loin de tout, lui permettant enfin de montrer qui il était, sans avoir à se dissimuler derrière un vulgaire masque.
TOI, ET SEULEMENT TOI
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Sujet: Re: Nan mokjeogeul ilheobeorin jakga i soseorui. Kkeuteun eotteohge mamuri jieoya hae — Shin Jeu 19 Fév - 14:52
Félicitations !
TU ES VALIDE(e) Shin Young Hae, j'aime nos rps avec lui que ce soit les liens positif comme LE lien négatif *_* On philosophe beaucoup dans nos rps et je ne vais pas me plaindre, loin de là, j'aime partir dans ce genre de délires :D Ce personnage est superbe et j'ai hâte de voir nos nombreux rp a venir ! *_* Voila voila toutes mes félicitations Mr Hae :D