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 I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright...

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Vincent F. Eckon

Comme Un lego avec du sang


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Vincent F. Eckon
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MessageSujet: I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright...   I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright... EmptyMar 17 Fév - 21:23



Eckon F. Vincent


Age: 31 ans
Date de naissance: 20 Mars 1984
Lieu de naissance: Portland MA
Groupe: Comfortable
Statut social: Professeur
Avatar: Nate Ruess
Scénario, PV ou P.I: PI
Catégorie: 2

Mon physique à moi


"Dans un lycée il y a les jeunes, les élèves c'est même la plus grande partie de la population lycéenne, ces garnements qui courent dans les couloirs, qui se bousculent et qui hurlent créant ainsi un brouhaha constant et presque insupportable. Et puis plus discrets, moins nombreux mais tout aussi importants dans la vie du lycée, ces personnes composent ce qu'on appelle le corps enseignant et j'en fait parti. Je suis un jeune professeur d'une trentaine d'année qui vient de débarquer à Wynwood High School avant la fin de l'année scolaire. Vous me regardez et vous vous demandez ce que je viens faire ici, et bien je viens enseigner la musique dans ce lycée. D'ailleurs quand vous me regardez, qu'est ce que vous voyez ? Un homme de taille moyenne, aux épaules un peu fines, et courbées, comme les témoins de longues heures sur scène à porter des amplis ou des caisses de matériel, marque aussi de mon entraînement sportif que je me force à suivre pour rester en bonne condition physique pour les tournées. Descendez un peu votre regard, et regardez mes mains, elles ont vu des vertes et des pas mûres, elles sont caleuses à cause des cordes de guitare, des médiators ou encore du piano, quelques coupures dues aux cordes qui parfois sautent, ce sont des mains de musicien en définitive. Si je paraît fatigué, un peu sur les rotules ce n'est pas à cause des cours, non enseigner la musique est un vrai bonheur mais plutôt à cause de ce que je faisais avant d'enseigner. Musicien est un métier à temps complet et çà laisse des marques, aussi cela explique les cernes sous mes yeux et la présence prématurée chez moi de quelques cheveux blancs, cheveux blancs que je ne cherche pas du tout à couvrir par des teintures, je ne suis pas encore rendu à ce stade là je prend juste un temps infini pour les coiffer le matin. Que vous dire d'autre sinon que mes yeux sont bleus, que la barbe ce n'est pas vraiment mon truc ? Si il y a bien quelque fois ou je me suis laissé poussé la moustache mais après de très mauvais retour du public et de certains de mes élèves j'ai décidé de ne plus retenter l'expérience. Ah oui peut-être dois-je vous parler de mon style vestimentaire ? Et bien même étant un rockeur dans l'âme je ne rentre pas dans les clichés veste en cuir et Dock Marteens. Je porte plutôt des t-shirt ou des chemises, pas de cravate, surtout pas de cravates. Pour le reste c'est jeans et chaussures légères, je crois que c'est tout, juste je précise que dans la mesure du possible je favorise toujours les couleurs au noir et blanc...

Ce qu'il se passe dans ma tête


...Professeur et membre d'un groupe de rock, je vous vois déjà arriver avec votre collection de préjugés à me coller dessus mais ne vous inquiétez pas j'ai l'habitude de tout çà. Par quoi je commence ? Par le professeur ? Comme je suis un professeur j'imagine que vous pensez que je suis un mec borné qui ne croit qu'aux vertus de la théorie et le bannissement de l'approche pratique. Je parie même que comme je suis prof vous êtes en train de vous dire que je suis d'un ennui mortel, adepte du cour magistral, de dissertation vocale pendant des heures. Et bien laissez moi vous dire que vous vous trompez sur toute la ligne, oh bien sûr une grande majorité des professeurs collent à cette description mais on est quelques uns à bouger un peu ces codes. Etant totalement passionné par la matière que j'enseigne, c'est pour ainsi dire ma vie je ne suis pas du genre à faire mes cours comme une simple leçon d'un professeur vers un élève. Je suis pour que les élèves puissent s'exprimer le plus possible, du moment qu'ils me respectent c'est tout ce que je demande, c'est la base de toute interaction saine entre un professeur et ses élèves, je leur doit respect et en retour ils me le doivent aussi, il y une chose aussi que je ne supporte pas c'est qu'on m'appelle monsieur, j'ai un prénom c'est pour quelque chose, ce n'est absolument pas pour me la jouer à la cool, c'est juste que ça me semble normal, tout simplement normal, je ne suis qu'un prof d'option et de musique qui plus est et pour moi c'est impossible d'enseigner, de parler de musique si en face on m'appelle monsieur ou professeur, je suis là plus pour partager que pour apprendre en fin de compte. Je pense être quelqu'un de relativement patient et à l'écoute de tout ce qu'on me dit, et surtout avec les élèves qui comme moi partagent la passion de la musique.

Comment je suis en dehors des salles de classes ? Une vraie rockstar c'est ce que vous dites, le genre abus et excès ? Je peux vous dire que c'est un mythe qui n'est plus vraiment d'actualité et ce même pour les plus démonstratifs des rockstars. En vérité je suis quelqu'un de plutôt posé et calme, même si en bon musicien je suis souvent sujet au stress et ce quand quelque chose d'important doit m'arriver, quand ça m'arrive j'ai plutôt du mal à contrôler ma panique, pour que je me calme il faut que m'isole, avec ma guitare. Ça ne m'est jamais arrivé en cour d'avoir un accès de stress, je prie silencieusement pour que ça n'arrive jamais. Si dans la salle de classe je ne m'énerve quasiment jamais, et même étant d'un naturel peu enclin à m'emporter, il arrive dans certains cas mes nerfs ne supportent plus les remarques que l'on peut me faire, vous voyez, pour rester calme j'ai tendance à tout garder pour moi, ne rien dire et surtout ne pas trop réagir aux attaques des gens alors forcément il y a toujours un moment ou tout par en éclat et je ne vous conseille de ne pas vous trouver sur mon chemin quand ça arrive. Sinon je suis quelqu'un qui ne refuse jamais de faire de nouvelles rencontres, je suis même connu pour me lier d'amitié assez rapidement avec les gens. Je crois que c'est à peu prêt tout...

L'histoire que j'ai à vous raconter


...Le Maine, l'Etat le plus au nord des Etats-Unis, frontalier avec le Québec et le Canada, il est délimité par le fameux Saint Laurent au nord et par sa frontière commune avec le New-Hampshire au Sud. Vous avez tous entendu parler du Maine, ou alors vous avez lu des choses sur cet Etat et pour cause c'est dans cette région froide des Etats-Unis que le romancier Stephen King a décidé de poser l'intrigue d'un de ses meilleurs romans d'épouvante : « Ça », mes parents me l'ont fait lire quelques fois, me disant que ce livre est une fierté pour notre région, personnellement je me souviens surtout des cauchemars que je fis après la lecture de ce livre que de l'intrigue en elle-même. Cette histoire n'a pas de rapport avec la ville fictive de Derry non plus, non cette histoire commence dans une petite ville assez célèbre de l'Etat du Maine : Portland. Tout de suite, avec une ville comme çà on pense à une grande ville, développée, avec de grands buildings, de grandes allées et de nombreux magasins de luxe, et bien aujourd'hui c'est le cas, c'est même un des centres d'impulsion du nord des Etats-Unis. Mais dans les années 1980, Portland n'était qu'un petit port de pêche, réputé pour son commerce grandissant, la ville en elle-même ne payait pas de mine avec ses maisons aux pierres apparentes et ça petite place principale, vous savez le genre de ville dont les touristes en recherche d'authenticité sont tellement de friands de nos jours. Dans les années 1970, la ville que nous connaissons aujourd'hui, se réduit à un grand village régit principalement par l'activité de pêche.

Vous me direz pour quoi je vous bassine sur Portland dans le Maine, qui pour vous est juste l'Etat le plus froid des Etats-Unis. Pourtant c'est là que tout à commencé, un jour de brouillard de l'année 1965, ça fait cliché de film d'épouvante je le sais mais c'est ainsi que l'on m'a raconté l'histoire et je n'ai jamais cherché à savoir si c'est vrai ou non. Peut-importe, c'est donc en 1965, que Frank Eckon et Elizabeth Stetson se sont rencontrés à un bal dansant comme il s'en faisait beaucoup à l'époque, un peu à la West Side Story, ça nous paraîtrait un peu kitch même, mais toujours est-il que c'est là qu'ils se sont rencontrés, je n'ai pas vraiment les détails mais ma mère m'a toujours raconté que ça avait été le coup foudre cette rencontre avec mon père, car oui vous l'aurez deviné je parle de mes parents. Ils ont emménagés tout les deux dans la maison de mon père à Portland, lui il était un jeune employé commercial dans une petite exploitation locale, une place que j'étais normalement destiné à reprendre plus tard, ma mère elle était serveuse à l'auberge de de Portland, autant vous dire qu'ils vivaient assez modestement ils étaient heureux, ils ont étés témoins du développement de la ville. Ils ne m'ont jamais raconté de choses extraordinaires sur leur vie avant 1984, juste qu'ils vivaient relativement heureux, que mon père au fil des ans avait réussit à reprendre l'exploitation de son patron qui le lui avait légué.

1984, l'année de ma naissance. Je suis en mars, mars dans le nord des Etat-Unis, toute une histoire, un peu comme mars dans le Sud du Québec en fin de compte. Portland en hiver c'est froid et glacial, le port est souvent prit dans la glace, stoppant ainsi toute l'activité piscicole de la région, c'est pendant cette dure période que la ville vit au rythme des quelques entreprises ne concernant pas la pêche, celle de mon père notamment. Je suis donc né dans ce monde glacé et industriel dans lequel j'allais passer toute mon enfance. Est ce que j'ai eu une enfance heureuse, oui sans hésiter je peux le dire, j'ai grandis dans une bonne ambiance à la maison, à l'école aussi, je suis plutôt sociable et je me fais quelques amis, mais on sait ce que sont les amitiés à cet âge là, tout est flou et vague quand on y repense. Est ce que j'ai eu une enfance facile ? C'est beaucoup moins sûr, bien entendu mes parents faisaient pour qu'à la maison tout se passe bien, que l'on aie à manger tout le temps, mais je n'étais pas dupe, j'étais encore jeune certes, mais je comprenais qu'il y avait quelque chose derrière la façade que mes parents me montrait. Bien sûr mon père gérait cette petite industrie dont il avait hérité mais ça ne suffisait pas. Nous n'étions pas les seuls, Portland était assez miséreuse à cette époque là.

Une date marquante ? Ma première visite à Montréal, pendant les vacances de noël, j'ai 11 ans je crois et sortir de mon Maine natal, aller dans un autre pays, çà m'émerveille autant que çà me fais peur. Tout est beaucoup plus grand à Montréal, tout est plus beau à Montréal, qu'est ce que j'aurais voulu habiter dans cette grande ville où la nuit brillent les aurores boréales comme le chante Robert Charlebois. Mais convenons-en ce n'est à cause des aurores boréales que Montréal a changé ma vie : Montréal c'est la ville, où mes parents m'ont acheté ma première guitare. Je m'en souviens encore très bien, de cette boutique, un peu vielle, dans cette rue balayée par la neige. Mes joues étaient encore rouge de chaleur du chocolat chaud que nous venions de boire avec mes parents dans un café non loin de là. Mes yeux ont tout de suite accroché à cet instrument exposé en vitrine, je l'ai trouvé magnifique, je me suis sentit irrésistiblement attiré vers cette guitare, je voulais l'essayer, essayer d'en sortir une note, comme si ma vie en dépendait. Sans se perdre dans les détails, mes parents me l'on offerte, pas celle dans la vitrine, une plus petite pour enfant, un modèle trois quart comme on dit. Cadeau d'anniversaire en avance, je n'imaginais pas encore en quoi cette guitare allait changer ma vie. Quand je suis rentré chez moi, je trouvais ma ville natale comme changée, pleine de possibilités et je me suis sentis vraiment bien.

Cette guitare elle m'a accompagné pendant mon adolescence, même si elle commençait à devenir trop petite pour moi, elle a accompagnée mes nuits de solitudes, mes joies, et mes tristesses, mes parents n'ayant pas l'argent de me payer des cours, j'étais mon propre professeur essayant de copier par dessus la musique des vinyles que nous avions à la maison, les Beatles, Queen, Zappa, ils sont en quelques sortes devenus mes professeurs de musique. Dans un coin de ma tête, je pense déjà à travailler pour pouvoir un jour me payer une autre guitare. Le lycée se passe plutôt bien, c'est là que rencontre Jean Redwine et David Ernal, mes deux meilleurs potes. C'est avec ces deux mecs qu'on a formé notre groupe de rock, juste pour s'amuser au début, puis on a commencé à vraiment prendre ça au sérieux quand on s'est mit à composer et que ça sonnait bien, Jean à la batterie, David à la basse et moi à la guitare, et au chant parce qu'il fallait bien que quelqu'un dévoue à cette tâche. Me voilà donc chanteur d'un groupe de rock au lycée, qui aurait cru que ce petit gosse, fils d'ouvrier à Portland, deviendrait un jour musicien. Pas mon père qui n'est pas ravi de me voir prendre tant à cœur cette passion. Il me voyait déjà reprendre son affaire, alors que moi je me voyais déjà sur les planches, nous avions quelques grosses disputes sur ce sujet à cette époque, typique de l'adolescent qui se sent incompris par le monde adulte.

Avec le groupe on a donné quelques concerts à cette époque, les quelques maigres cachets que nous avons reçus nous permirent de renouveler notre matériel, une nouvelle guitare pour ma part. Mais nous savions que nous allions nous séparer, la fac approchait et nous allions prendre des voix différentes, je voulait continuer dans la musique et pour çà je pris une décision qui me coûta beaucoup : partir de chez moi, de chez mes parents, prendre une bourse d'étude et juste partir avec Jean et David et quelques uns de nos camarades dans le New Hampshire pour poursuivre nos études. Moi je prend une collocation avec Jean, il part en sciences, moi en musique, avec plus ou moins un objectif en tête, je voulais enseigner ce que j'avais appris en musique, mais pour çà il fallait d'abord que j'apprenne le solfège, les notes, les rythmes, apprendre les méthodes conventionnelles pour ensuite enseigner les miennes. Malgré l'approche trop théorique, je m'accroche et j'acquière du savoir. Pendant nos cinq années de faculté, Jean et moi on continue à écrire, sans but, juste écrire si on a l'occasion un jour de se produire à nouveau sur scène.

C'est à la faculté de musicologie que je l'ai rencontrée, cette fille qui allait devenir ma femme quelques années plus tard, nous avons tout les deux 20 ans, elle est assise au premier rang en cour d'écriture, et mon cœur a tout de suite fait des bonds dans ma poitrine. Je me suis mis à la courtiser, je crois qu'elle m'a trouvé lourd au début, avec mes ballades et mes poèmes à l'eau de rose. Mais à la fin, Rosy, oui elle s'appelait Rosy, à la fin de la troisième année, Rosy m'a embrassé, pendant le bal de promo, et c'était le plus beau jour de ma vie. Nos cinq années de dure labeurs finies, nous avions décidés avec Dave et Jean de faire un dernier concert avant de vraiment nous séparer. Tout est un peu flou, je me souviens de certains morceaux de la soirée : le baiser de Rosy avant de monter sur scène, l'adrénaline de jouer une dernière fois tout les trois, les inséparables potes du lycée. Et puis il y a eu ce businessman ce producteur qui est venu nous voir après le show dans ce café du New-Hampshire. Il nous a proposé des dates dans des salles plus grandes et on a pas su dire non, on a fait des dates on s'est fait connaître, comme de nombreux petits groupes. A 22 ans je me marie, c'est jeune pour se marier 22 ans, mais j'aimais Rosy comme un fou, et elle m'aimait tout autant, que voulez-vous le cœur a des élans que la raison ignore. Mais notre petite célébrité a eu raison de nous, on commençait à se faire connaître dans l'Etat du New-Hampshire et dans le Maine aussi. Mes parents m'ont même envoyé leur félicitations. Je dis que notre célébrité a eu raison de nous car c'est à cause du fait que je passais trop de temps sur la scène que l'année dernière, après quelques années à tourner, à enregistrer que Rosy à décidé de divorcer et je n'ai pas su la retenir. Je sentais tout partir dans tout les sens, je sentais que ne contrôlait plus rien, d'un commun accord, avec Dave et Jean nous mîmes fin au groupe, pour de bon. Dave repartit à Portland, Jean lui est resté sur place et moi je suis retourné voir mes parents et j'ai enfin passé l'examen pour devenir professeur. Et il y a quelques mois, peu après mon trentième anniversaire j'ai reçu ma première affectation, tout sud des Etats-Unis. Wynwood High-School, Miami Florida... "

J'arrête doucement de taper sur mon pc, la chaleur est insupportable pour moi qui viens du nord, même en cette heure avancée de la nuit. Je jette un coup d'oeuil à ma guitare posée sur mon lit. Je soupire et regarde mon écran. Non finalement ça ne le fera pas comme présentation pour les élèves, beaucoup trop long pensais-je. Alors je sélectionné tout ce que j'ai écrit avant et j'ai supprimé, à la place j'ai juste écris : « Bonjour je m'appelle Vincent Eckon, et je suis votre nouveau professeur de musique, des questions ? »

Tiens je viens de retrouver ce fichier vide qui devait être mon discours de rentrée l'année dernière. Mais maintenant que je retrouve ce fichier, j'ai envie d'en faire quelque chose, une sorte de journal de ce qui se passe, de ce qui m'arrive à Miami, je remet une mèche derrière mon oreille et je commence à taper. Et pour ainsi dire il se passe pas grand chose, je suis professeur et j'enseigne la musique rien de plus. Ah si j'ai rencontré un élève formidable: Shin Young Hae, ce gosse est talentueux, vraiment. Mais c'est plus que ça il a une philosophie magnifique et nous en sommes venus à rapidement collaborer sur le plan musical et à se raconter nos vies. Son histoire n'est pas drôle loin de là, et il m'a fait une demande un jour, une demande à laquelle j'ai décidé d'accéder. Je suis désormais le tuteur légal de Shin et je ne le regrette absolument pas." Je souris à çà et j'ouvre ma boîte mail pour envoyer un formulaire pour officialiser la demande à Shin...

TOI, ET SEULEMENT TOI


Souhaites-tu un parrain/marraine? No thanks :D
Age: 21 ans
Pseudo: Ricoco
Où as-tu connu le forum? //
As-tu une remarque, ou suggestion à faire?  I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright... 980144691
Code de validation:Auto validatiooooon 8)
As-tu envoyé ton secret? DA :D
Code:
→ Nate Ruess [color=red]?[/color] Eckon F. Vincent

(c) Sashette
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Nina P. McCoy



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Études/Boulot: Etudie le droit à Harvard, par correspondance et fait un stage au barreau de Miami
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Quartier/Adresse: Coral Gables


Nina P. McCoy
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MessageSujet: Re: I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright...   I Got Nothing Left Inside Of My Chest... But It's All Alright... EmptyJeu 19 Fév - 14:28


Félicitations !

TU ES VALIDE(e) Fiou fiou fiouu il a du vécu lui haha! C'est un autre genre, mais j'aime bien son côté artistique et passionné pour ses élèves :). Encore une réussite pour cette fiche, félicitation filleul <3 Je te valide sur le champs!


survole-moi

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