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Jewel McCoy Who I am : Art. I Date d'inscription : 18/02/2015
Isobel W. McCoy
Sujet: La fin de l'année approche? (Ceux qui veulent) Mar 10 Mar - 14:15
Depuis deux semaines, Isobel était revenue de Londres. En effet, durant un bon mois, elle avait demandé à se faire remplacer en tant que prof d’histoire. Eden lui avait trouvé un remplaçant fraichement diplômé et malgré qu’elle était pour l’insertion des nouveaux professeurs, elle n’avait pas pu s’empêcher d’avoir des craintes concernant le programme qu’elle avait donné à ce professeur. Elle avait aussi espéré que ses étudiants aient été compréhensifs et accueillants, mais pour certains c’était encore à prouver. Durant sa formation dans la capitale anglaise, Isobel avait dû s’adapter à une autre culture, une autre manière de vivre et surtout un autre climat. Si à Miami il faisait 30 degrés presque tous les jours, à Londres il pleuvait presque tous les jours aussi. Pour autant, elle avait apprécié aussi bien sa formation que l’endroit où elle passait son temps libre, comme visiter la ville, par exemple. Maintenant qu’elle était de retour, il était temps de se remettre dans le bain et dans la salle des profs, elle prit le temps de voir jusqu’où avait pu aller son remplaçant. Le feedback qu’elle en avait eu avait été plutôt positif, mais malgré tout, elle était contente de reprendre du service.
Debout devant cette grande table ovale, Isobel échangeait deux trois mots avec ses collègues. Sur son voyage, sur sa formation et n’hésitait pas à se mettre à jour en ce qui concernait les nouveautés de l’école ou encore, les nouvelles têtes. Eden avait pris le temps de lui faire un bref résumé et lorsqu’elle avait récupéré le contenu de son casier, elle avait préféré choisir un moment pendant sa pause pour s’y pencher. Là, le temps étaient aux photocopies, aux notes à prendre et à profiter de ses collègues avant le retour dans le feu de l’action : son cours d’histoire. Aujourd’hui, elle leur avait préparé un programme un peu spécial qui sentait bientôt la fin de l’année et pour les seniors, une épreuve de plus vers l’obtention de leur diplôme. L’heure H ayant sonné, Isobel rassembla ses affaires et prit le chemin vers l’amphithéâtre où allait se passer son cours. Assise derrière son bureau, elle attendait patiemment que ses élèves arrivent, et une fois qu’ils furent tous présents, ou presque, elle s’appuya contre le bord du bureau, face à eux :
« Bonjour à tous ! Aujourd’hui ça va être un cours un peu spécial parce qu’on va surtout se pencher sur les travaux que je vais vous infliger. En tout, il y en aura 2. Un qui sera pour la fin de l’année et donc qui devra être assez conséquent. Vous allez devoir le présenter tout seul ou à deux, sur un thème choisi. Ici, j’ai une liste de thèmes qui touchent l’histoire de notre si grand pays. Pour ce travail, je vous laisse une semaine pour vous documenter et voir ce qui vous intéresse le plus. C’est à dire que la semaine prochaine j’aimerais que vous me présentiez votre sujet avec le nom de la personne avec qui vous le faites, si vous décidez de le présenter à deux. Le thème, évidemment et un bref résumé de comment vous comptez le présenter. »
Isobel marqua une pause et en lisant l’interrogation dans le regard de ses étudiants, elle s’expliqua :
« La particularité de ce travail est qu’il devra être original. Non pas dans le contenu, parce qu’on ne vous demande pas de refaire l’histoire, mais dans la façon de le présenter. Vous pouvez très bien nous le présenter en pièce de théâtre, en musique, en dessin pourquoi pas. Vous pouvez vous déguiser, ou autres, vous faites vraiment comme vous le sentez, tant que ça reste ludique et qu’on comprenne ce que vous voulez nous dire. Vous allez devoir présenter ça devant tout le monde, mais pas seulement. Il y aura aussi M. Cobb qui est friand de ce genre d’exercice étant donné que ça touche à la manière de faire passer un message, autrement dit à la communication. Peut-être que d’autres professeurs voudront y participer, vous saurez ça en temps voulu. »
Isobel donna le premier paquet de feuilles à l’élève se trouvant en face d’elle et l’invita à le faire passer aux autres élèves. Elle prit un autre tas de feuilles et se lança dans de nouvelles explications.
« Pendant un bon mois, nous allons faire une parenthèse sur l’économie et plus particulièrement sur les krach boursiers. Comme vous avez tous bien étudié votre cours d’histoire, vous n’êtes pas sans savoir que l’Amérique a été touché par ce… phénomène et bien d’autres pays. Je vous avais dit qu’on en rediscuterait plus en détails ultérieurement, et bien il est temps maintenant de ce pencher là-dessus. C’est pourquoi, en parallèle à mon cours, vous aurez un mois pour présenter un krach boursier qui a eu lieu dans le monde ou même en Amérique. Si vous choisissez, par exemple, le krach asiatique de 1998, on est d’accord que le tourisme en Asie ne m’intéresse absolument pas. Ne me faites pas un exposé sur le pays où s’est déroulé le krach en lui même. Vous pouvez en toucher un mot ou deux, mais le tourisme, le climat, la faune et la flore, je m’en contre fiche, évidemment. »
Une fois de plus, elle donna le paquet de feuille à la personne en face d’elle pour qu’elle le fasse passer.
- « Pour ce travail, vous pouvez également le faire à deux, ou même à trois, mais pas plus. Je vous laisse une heure pour vous décider sur votre sujet et la ou les personnes avec qui le faire. Autre chose, en bas de la feuille vous avez mon adresse mail : « Isobel.mccoy@miamicriminallaw.com » Vous remarquerez que c’est l’adresse de mon travail et pas celle de l’école parce que je n’ai pas envie de switcher entre deux adresses. Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas, mais par contre évitez de m’envoyer des mails, des chaines à renvoyer à X amis, des pub, des invitations à facebook ou autres, parce que déjà je ne m’amuse pas avec les réseaux sociaux, mais en plus, c’est une adresse mail de travail. Aussi, pour ceux qui voudraient me voir, plutôt que de voir ça par mail, je ne suis pas là tous les jours. Je suis à mi-temps ici le mardi et le jeudi toute la journée ainsi que le vendredi matin et le reste du temps je suis pénaliste. Je peux vous recevoir à mon travail 15/20 minutes, mais prévenez-moi avant pour que je puisse m’organiser Et ne vous ramenez pas en meute, parce que c’est un lieu de travail avec des clients alors accueillir un troupeau d’éléphants, ça le ferait moyen. Non pas que vous soyez des éléphants, mais vous comprenez » Elle les regardait en espérant qu’ils comprennent où elle voulait en venir et puis termina « Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous arranger pour le travail »
Infos: C'est un rp ouvert pour les personnes désirant faire des rp "pendant un cours". Mais je ne compte pas répondre à ce rp sauf si vous me le demandez et donc, ça ne sert à rien d'y mettre le bronx parce que.... Je n'y répondrai pas :D. C'est pas le but de ce rp. Il est seulement là pour ceux qui aimeraient développer des liens dans un contexte scolaire et plus précisément, "cours". Après si vous avez besoin de l'intervention d'Isobel pour une chose ou l'autre, n'hésitez pas à me MP et j'y répondrai. Les profs/membres du personnel du lycée aussi peuvent y répondre, s'ils désirent interragir avec elle ou faire un petit échange de rp dans un milieu plus scolaire.
Messages : 70 Dollars : 57 Featuring : Alexis Ren DC : Ninou & Co Date d'inscription : 06/03/2015
Iris E. Stewart
Sujet: Re: La fin de l'année approche? (Ceux qui veulent) Mer 11 Mar - 11:48
Ce qu’il y avait de différent avec l’Angleterre ? Sans doute le climat. Depuis son arrivée à Miami, elle avait pu profiter du soleil pleinement, le temps d’un week-end. Certes, elle ne connaissait encore personne, mais se rendre à la plage et profiter du climat et ce, toute seule, ne la dérangeait pas vraiment. De toute façon, elle savait qu’elle allait rencontrer des gens, c’était obligé, juste que là, elle profitait d’être encore un peu seule et c’était tant mieux. « Miss Stewart, il est l’heure de vous réveiller. C’est votre premier jour de cours aujourd’hui » Cette voix était toujours la même : Sophie, sa gouvernante. Celle qui s’occupait d’elle depuis des années maintenant et c’était très certainement celle qu’elle prenait le moins pour un animal de foire. Les autres avaient le don de l’exaspérer, à croire qu’ils étaient là pour ça. Iris finit par se lever et par sortir de son lit direction la salle de bain, sans un mot : c’était le matin. Après une douche bien chaude et bien revigorante, elle opta pour une jupe cyan légèrement dentelée et une blouse blanche décolletée à la limite du cache cœur. Miss Stewart appliqua un peu de fond de teint pour égayer son visage et une touche d’anticerne pour effacer toute trace de fatigue. Elle finalisai le tout avec un rouge à lèvres légèrement rosé et Iris était fin prête pour les cours, ou presque. En sortant de la salle de bain, Sophie la regarda de haut en bas « Oh Mademoiselle, vous êtes ravissante, mais… Ce n’est pas trop…trop ? » face au miroir, elle replaça ses cheveux correctement et se regardait, satisfaite du résultat « Voyons Sophie, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, puis on est à Miami : la pluie tous les jours c’est terminé ». La jeune fille attrape son sac et de quoi prendre note et descend rejoindre ses parents. Pour une fois, son père était là, tiens donc « Chérie, n’oublie pas que t’es déjà promise à quelqu’un. N’en fais pas trop » Ah oui, c’est vrai. Ben l’un n’empêche pas l’autre, elle n’est pas encore mariée, ni même fiancée, autant en profiter encore un peu. Iris adresse un sourire hypocrite à sa mère en guise de « j’ai compris, c’est bon » et puis en passant derrière sa petite sœur, elle en profite pour lui fourrer la tête dans son assiette, alors que ses parents ont le dos tourné. « Ben alors, Ana’, c’est mal de manger comme une truie. Tu n’es vraiment pas digne de la famille, toi. Maman, tu devrais apprendre à ta fille à se tenir à table, c’est vraiment répugnant. Elle s’en fout partout c’est une vraie porcherie » Sur le coup, sa mère se retourne et voir sa fille cadette barbouillée, la pousse presque à l’infarctus « Ana ! Ca suffit maintenant, tu montes dans ta chambre et tu me nettoies ce visage. Tu sais en Amérique c’est comme à Oxford, on se sert de ses couverts ! Si je dois te priver de repas pour que t’apprennes à manger correctement, je le ferais et sans aucun scrupule, t’es prévenue ! » Les yeux de la petite tête blonde se remplirent de larmes, bien trop peinée d’être victimisée à ce point par sa sœur, mais le plus dur était que sa mère ne voyait rien, bien trop aveuglée par la fascination qu’elle éprouvait pour d’Iris. Elle était sa fierté et Anastasia, elle, n’était que sa fille.
« J’y vais. Maman, dis à Josh de préparer Myel. J’aimerais le monter quand je reviendrai »
Pas de merci, pas de s’il te plait, Iris ne voyait même pas pourquoi elle se fatiguait. Elle n’avait pas à remercier quelqu’un de faire quelque chose pour laquelle il était payé. Josh était cet homme qui s’occupait du cheval de la jeune fille. Parce que Iris avait horreur de le faire. Elle préférait le monter, parce que brosser un cheval ou encore lui curer les sabots, ça salissait et c’était dégueulasse. Pourtant, son cheval était important pour elle, c’était un cadeau que son père lui avait fait alors qu’elle était encore une enfant. Aujourd’hui, elle pourrait passer des heures à le monter, parce que ça lui permettait d’oublier un peu ce qui l’entourait, d’oublier les projets que sa mère avait pour elle, même si au final, se marier avec un garçon riche était dans ses plans. Seulement, elle ne s’était jamais imaginée que ça serait aussi rapidement.
Dans son nouveau lycée, elle cherchait la salle où allait se passer son premier cours : histoire. Super, elle devait en plus rattraper le cours, parce qu’en Angleterre, on s’en fiche pas mal de l’histoire d’Amérique. Oh, elle connaît les grandes dates, parce qu’elle n’est pas inculte, ni même idiote, mais peut-être pas au point de réussir un examen haut les mains. Iris attrape le bras d’une personne qu’elle ne connaît pas « Je cherche le local où le cours d’histoire pour les Senior est donné ». Pas de bonjour, pas de s’il te plait, pas non plus de merci, rien. Parce que cette personne est forcément inférieur à elle et qu’elle n’a pas non plus besoin de faire des rond de jambe pour s’adresse à ce genre de personne. Lorsque le garçon lui indique le chemin, elle lui adresse un clin d’œil. Pas tellement pour le remercier, juste parce qu’il est mignon. Il manque de classe et n’a pas vraiment de goût niveau vestimentaire, mais il reste mignon. Dans l’amphithéâtre, elle adresse un sourire à la prof et puis finit par la saluer.
Iris se dirige vers le fond de la salle et s’installer à une place où tout était encore vide autour d’elle. Des étudiants arrivaient, certains plus silencieusement, d’autres un peu plus bruyamment. La jeune fille passe une main dans sa chevelure blonde et sors son miroir afin de se regarder dedans. Ca va, elle est toujours aussi parfaite. La prof finit par se lever et donner les directives du cours. Donc ils vont devoir faire un travail de groupe, sauf qu’elle ne connaît encore personne. Iris s’enfonça un peu plus dans son siège et attend que le temps passe et puis finalement, elle se tourne vers son voisin.
« C’est souvent comme ça, les cours ici ? Les travaux de groupes, tout ça ? Parce que c’est nul, je viens d’arriver en Amérique et je ne connais personne encore. Je fais comment, moi ? » Elle adressa un sourire à ce jeune homme accompagné de son éternel air espiègle qu’elle avait du mal à quitter « Tu ferais un travail avec une fille que tu ne connais pas ? Genre, une jolie blonde, aux grands yeux bruns et au corps de rêve ? Moi quoi ? Je suis Iris Stewart, enchantée »
Y a jamais mieux pour commencer la journée qu’avec son réveil d’activé. Et qui disait réveil disait cours, parce que c’était la seule et unique raison qui me poussait à faire preuve d’un tel masochisme. Sinon quoi je ne mettais jamais en route cette stupide machine, qui par ailleurs était toujours un peu plus cabossée chaque jour. Et aujourd’hui, plus que les autres. La veille, j’étais sorti. Mauvaise idée. Du coup j’avais un joli mal de crane, et non pas de gueule de bois. Mauvaise langue à celui qui l’aura pensé. Aujourd’hui c’est juste parce que j’ai pas assez dormi, et non pas parce que j’aurais bu comme un trou la veille. Et donc ça allait plus vite passer que d’habitude.
Je ronchonnais, seul. Je tournais dans mon lit comme un démon comme si ça allait remonter le temps, mais non rien à faire, il défilait. Vite, trop vite. Et je fus contraint à prendre la direction de la salle de bains pour me préparer. Une bonne douche bien chaude pour entamer une belle matinée. Une demi-heure tout au plus. Ce n’est qu’après avoir fini de chanter comme un pied toutes les chansons de mon répertoire que je daignais sortir de là pour continuer à me préparer. En serviette dans l’appartement je mis à chauffer de l’eau, tout en séchant mes cheveux avec une serviette que je secouais dans tous les sens. Super sexy. Et pendant que tout se préparait dans la cuisine, j’en profitais pour m’habiller et tenter de discipliner la serpillère qui me servait de cheveux. C’était le défi matinal quotidien, et avec habitude j’arrivais toujours à leur donner une tronche à peu près potable. Fin prêt. Tout beau, tout propre, comme à mon habitude, je pus prendre un petit déjeuner –rapide- avant de filer, clés en main direction le lycée. Depuis que je ne vivais plus à l’internat, j’avais le loisir de m’inventer tous types d’excuses. Bouchons, accident, et tous types de problèmes dus à la circulation. Parce que dire qu’un groupe d’intellos m’empêchait d’aller en cours le matin n’était pas une excuse valable. Etre à l’internat c’est être obligatoirement à l’heure, dur d’être plus près des salles de cours, si ce n’était dormir dans la salle en question.
Après cinq minutes de route, je me garais sur le parking et montais les marches quatre à quatre en saluant mes potes les boutonneux en faisant tomber les cahiers de cours qu’ils lisaient, ou en bousculant deux trois. Ca m’avait manqué. J’avais pas foutu les pieds dans ce lycée depuis un bout, et j’étais plutôt heureux aujourd’hui. Et être de bonne humeur voulait dire en faire profiter tout le monde, et donc coller la tronche d’un gars avec un chemin de fer dans la gueule contre son casier. C’était une activité plaisante à faire en ce jour. Et qui me permettait d’oublier que je commençais par histoire. Je n’aimais pas beaucoup cette matière, trop de dates à retenir, mais c’était la mère de Nathan la prof, et fallait mieux pour mon matricule que je me tienne à carreau. Mais bon, elle était une prof cool et je n’avais aucune raison de lui en faire baver. Mais malgré ça, je privilégiais toujours les places du fond, mon squat. Je savais qu’au moins j’étais tranquille, et qu’un matheux ne viendrait pas m’importuner. De là on ne voit pas bien le tableau, et on n’entend pas bien le prof. Non stratégique pour être au top niveau.
Bref, à la place je me coltinais une nouvelle tête. Une jeune fille, blonde, et sacrément bien foutu. En fait, le jackpot. Seulement, je ne dis rien au début et me contentais d’écouter Isobel nous parler du cours du jour. Et vive la surprise, encore un exposé en vue, le genre de choses qui demandait de travailler, ce dont j’étais le moins friand. On avait le choix : binômes ou individuel. Mais binôme pour moi était synonyme d’esclave, donc moins de chance d’avoir à me coltiner des heures de boulot. J’optais donc pour cette solution, et étais même prêt à aller soudoyer un des Khi au premier rang, mais la jeune fille à mes côtés commença à me parler me contraignant à garder mon cul assis sur la chaise.
« Avec cette prof ouais. Et je trouve que c’est pas plus mal, l’histoire c’est carrément chiant, au moins c’est déjà plus interactif, ça donne moins envie de dormir. Bon ça ne rend pas la matière plus simple, mais plus supportable je dirais. » Ouais, c’est comme ça que je le voyais. Moins chiant en réalité. « Et tu nous viens d’où comme ça ? » Je lui demandais, par curiosité avant d’ajouter, alors qu’elle se plaignait qu’elle risquait de se retrouver seule. « Et crois-moi, tu risques pas de finir sur ce travail seul. » Non cela ne faisait absolument pas référence à ses mensurations et sa belle gueule. « En tout cas, demandé si gentiment je ne peux pas refuser. Et moi Sasha Cobb. » Et ouais les gars, c’est moi qui bosse avec la nouvelle bombasse, dans vos dents. Bon, très sincèrement je ne la connaissais pas, et je ne savais pas du tout comment elle était, si c’était une Eileen bis j’étais pas mal foutu. Et ça voulait surtout dire que je m’étais embarqué un mois avec une inconnue qui allait me pourrir la vie. Mais ça c’était à voir pour la suite.
Après, on va penser que je suis le gros pervers de base, mais en réalité, je disais juste ça parce que je suis un gars qui aime bien regarder ce qui est joli, et j’avais suffisamment eu ma dose avec Eileen pour me jeter à nouveau dans une histoire sans queue ni tête.
« Bon, du coup, on a notre groupe, il nous manque plus que notre sujet. Vu qu’on vient tous les deux d’Angleterre, un krach boursier en Angleterre ça te branche ? Je crois que ça sera le plus simple, parce que pour être honnête l’économie je ne suis pas super fan. » Et ça me rappelle mes couillons de parents, surtout. Il ne me restait en somme que son avis, et nous avions déjà ça de plié, et ça m’arrangeait.
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Iris E. Stewart
Sujet: Re: La fin de l'année approche? (Ceux qui veulent) Mer 1 Avr - 21:41
Lady Stewart ne cessait de lui dire: "Iris, arrête avec ton portable lorsque tu t'adresses aux gens." Mais non, ça entrait dans une oreille et ça sortait de l'autre, ou pire encore, ça n'entrait pas du tout parce qu'elle s'en contre-fichait de ce que sa mère pouvait lui dire. Elle préférait faire à sa mode, comme bon lui semble. Et là, présentement, elle était encore sur son téléphone à attendre que ce cours commence enfin. Elle passa une main dans ses longs cheveux blonds, ne faisant pas vraiment attention aux personnes qui entraient et s'installaient autour d'elle, parce que son texto ou les derniers potins sur Twitter étaient beaucoup plus intéressants. Elle posta d'ailleurs un Tweet où elle y précisait son pseudo-enthousiasme pour sa nouvelle école à l'aide d'un "Les filles sont désespérément ordinaires, les mecs, en revanche, plutôt mignons". Ses copines y répondirent à la minute, comme si elles avaient attendu tout ce temps pour le savoir et pourtant, Iris n'en avait que faire. Alors que la prof prit la parole, elle posa son portable sur le banc, mais continua à jouer avec. Elle regardait les nouvelles collections sorties sur les sites des plus grandes marques, quand le peu d'attention qu'elle portait au cours la fit revenir sur terre. Elle devait faire un travail, toute seule ou en binôme. Très bien, il était hors de question qu'elle le fasse toute seule, déjà. Par contre, pour le faire en binôme, elle allait devoir se trouver un pigeon qui ferait tout le boulot. Elle écoutait à moitié les informations données par cette dame. Déjà, l'histoire ne l'intéressait pas. Qu'est-ce que ça pourrait lui faire de savoir ce qu'il s'est passé avant? Sa vie était déjà une histoire à suivre, alors si en plus elle devait se charger de celles des autres. Puis qu'est-ce que ça pouvait faire qu'elle soit au courant de tout ça? Absolument rien. Ca ne les ferait pas revenir et ils étaient très bien là où ils se trouvaient. Iris soupira, parce qu'elle n'avait pas vraiment d'idée à qui demander, sauf peut-être au mec qui se trouvait à côté d'elle. Il avait pas la tête d'un pigeon, dommage, mais peut-être qu'elle pourrait obtenir d'autres choses et ce, même si elle devait aussi mettre la main à la pâte. Elle ferait juste ce qu'il faut, quitte à demander à papa et maman de payer un intello pour venir faire le travail à sa place.
Iris interpella le garçon à côté d'elle. Il était mignon, il avait de la classe et il était agréable à regarder. En plus, il n'avait pas l'air très intéressé par le cours, même si visiblement, il préférait quand la prof agissait de la sorte. C'est vrai qu'un cours somnifère, c'était encore plus mortel, mais au moins, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient une fois au fond de l'amphithéâtre. "Elle est du genre sympa et compréhensive au point de se faire rouler lorsqu'on la lui fait à l'envers, cette prof? Ou du genre peau de vache et radine en dons de points?" Iris adressa un sourire rempli de malice au dénommé Sasha. Lorsqu'il lui demanda d'où elle venait, elle hésitait à le faire languir un peu, ou même le faire deviner, elle pourrait même le faire marcher dans un jeu de piste, mais elle allait vite s'embêter, elle le savait déjà "Je viens d'Oxford, en Angleterre. J'imagine que toi t'es un pur américain, que t'es né ici et que tu connais la ville comme ta poche, non? Si c'est le cas, je décide de te prendre comme guide. Mais attention, pas n'importe quel guide. Un guide de luxe, qui m'emmène dans les soirées branchées et tout ce qui va avec. Je peux même te payer si tu veux… En liquide, en nature, c'est toi qui vois" Nouveau sourire espiègle avant de porter son regard sur son portable toujours posé sur la table. Sa réponse suivante me fit sourire et celle d'après me faisait ressentir un grand sentiment de satisfaction. Désormais, elle n'avait plus besoin de chercher, elle avait trouvé son binôme. En plus de ça, elle avait mieux qu'un pigeon, parce qu'il était mignon et il avait l'air moins naïf que tous ces intellos qui vissaient leurs fesses aux premiers rangs de l'amphithéâtre. Iris attrapa la main de Sasha et la déposa sur sa propre jambe, croisée avant de chercher après un stylo. Elle y écrivit un numéro de téléphone, plus précisément le sien et puis, lui rendit sa main non sans ce même sourire qu'elle lui offrait depuis qu'il avait posé ses jolies fesses à côté d'elle "T'en auras certainement besoin, crois-moi" Sasha lui proposa un Krach boursier anglais afin de mettre en avant leurs origines similaires. "On peut oui, puis mon frère étudie l'économie pour être Trader, on peut toujours s'en servir pour nous faire un résumé des trucs incompréhensible plutôt que de passer son temps dans une bibliothèque avec une vieille qui pue le bouc en guise de bibliothécaire. On peut surement trouver d'autres choses bien plus intéressante que ça à faire en attendant" Qu'il prenne ça comme il souhaite et surtout avec tous les sous-entendus qu'il veut "Et sinon, ça fait longtemps que t'es à Miami? Tu préfères à Oxford? Jusqu'à présent, je ne leur envie que le soleil et la plage. Je rêve d'une beach party." Iris s'appuya un peu plus sur son banc et reprit de plus belle "Bon alors, si t'acceptes d'être mon guide malgré que tu ne sois pas américain, t'emmènerais où une jolie anglaises dans mon genre, après les cours?"
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Sujet: Re: La fin de l'année approche? (Ceux qui veulent)